en vrac

Le pouvoir à la tête - aux pauvres les couilles - les tripes - et le sang - le meilleur est absent -

le pouvoir est impuissant - quand la Iiberte n'appartient qu’aux pauvres - le riche jouit - car il est un puissant - la politique est aux ordures - ce que l'ordure est aux pauvres - le souvenir appartient désormais à la Bétonneuse - le pouvoir se chérit - quand la liberté se meurt - le pouvoir de l'argent - the future is now - il n'a que la force du pouvoir - mais la puissance de l'humain s’ignore - une fois encore - et pour toujours - à Belleville - le souvenir appartient à la Bétonneuse - après les halles - le Marais - les quatre saisons sont à l'hiver - la pauvreté de l'esprit mise à jour - là où la richesse jouit en son miroir - le Français est lâche dans son histoire - l'étrange étranger dans l'ombre - au demeurant - la poésie n'a plus d'age - peuplée d'ennemis - elle se nourrit des rides et la moquerie la couche au ban des sacrifiés. La vie n’a plus d’ailleurs - elle est d'ailleurs - et c'est pourquoi nous nous expulsons du ghetto de la nuit - au jour le jour - l'intuition sensible est fragile au demeurant - et a l'ignorant - la victoire est aux nuls - quand le degré zéro de la vie et de la vie s'étend au plus profond - de la ressource de nos armes - le principe de réalité - des potes de sciences pô - et nos âmes - à jamais dans le Iifting de l'age de pierre – s’incruste la vie - de l'oubli - à l'oubli de soi - et de l’autre. Il a mangé ma maison - par soif de pouvoir - et d’argent - mais sera-t-il rassasié - le moloch élu - de sa main de plomb assermenté - au nom du peuple - souverain - a l'œil absent - glauque - nu de son électeur -le rêve n’a pas de limite - il n’épargne rien ni personne - et la Terre s’en moque bien de ton vocabulaire au son idiot - ô son idiot de la terre ! - ton enfer est bien - le tien Monsieur le Maire - et tes permis de construire - tes perversions - vision erronée - marécage ! - vidéocentrisme à l'œil de bœuf - ton idéologie sent la ponte d’une maison de pompes funèbres - et de gauloiserie américaine - et fa vulgarité ne sera jamais - Parti - autant que tu le souhaites - et ta vulgarité ne sera jamais - proche de ma souffrance autant que tu le souhaites - tu n’es que le maillon d’une sombre histoire - qui t'ignore.